Comparable à l’isolation de 84 000 maisons individuelles, ce volume est en progression de 87% en 4 ans et représente 975 000 tonnes équivalent CO2 stockées depuis 2016. Des chiffres qui, à l’heure de la RE2020, montrent l’attrait grandissant des matériaux biosourcés et leur intérêt pour préserver les ressources et favoriser le stockage carbone.
8,7 milliards de kilomètres d’un véhicule moyen*
620 000 mètres carrés de bureaux**
Produisant des matériaux à partir de ressources renouvelables diversifiées (le bois, le chanvre, le lin, le papier ou encore le textile recyclé), les leaders des produits d’isolation biosourcés représentent d’ores et déjà 10 unités de production sur le territoire français et plus de 4 000 emplois directs et indirects (en savoir plus sur la filière biosourcée française ici). Leur politique d’investissement ambitieuse va permettre de doubler la capacité de production d’ici 2025. Cet essor, qui utilise les ressources locales produites par les filières agricoles et de recyclage, est créateur d’emplois pérennes et non délocalisables.
Fédérés au sein de l’AICB (Association des Industriels de la Construction Biosourcée), les fabricants d’isolation biosourcée ont rejoint en 2020 l’Union des Industriels et Constructeurs Bois (UICB), qui regroupe 12 organismes professionnels œuvrant collectivement pour la construction durable en France. À leurs côtés, ils se mobilisent pour répondre aux attentes environnementales dans l’acte de construire, avec 10 séries d’engagements allant de la recherche & développement, à la formation, au recyclage… Le but : accompagner l’ensemble des professionnels de la construction dans la transition écologique, et atteindre ensemble l’objectif de neutralité carbone en 2050.
En savoir plus sur ces engagements
* 1 m2 de bureau émet 1,5 t eq CO2 (fonctionnement + matériaux)
** La moyenne des émissions de CO2 des véhicule neufs vendus en France se situe à 111 grammes de CO2 par kilomètre en 2017 (source Ademe)*